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« C’est le petit qui monte », un livre offert à tous les parents d’un nouveau-né

Dans le cadre de l’opération la Fureur de lire et du Plan Lecture, l’album d’Émile Jadoul intitulé « C’est le petit qui monte » sera distribué gratuitement dans tous les milieux d’accueil et les consultations de l’ONE. Le but est de donner assez tôt le goût de la lecture aux tout-petits accompagnés de leurs parents pour, ensemble, s’émerveiller l’esprit.  

La Fédération Wallonie-Bruxelles et l’Office de la Naissance et de l’Enfance se sont associés dans une démarche commune : permettre aux parents et à leurs enfants de se familiariser à la lecture en leur offrant un livre 100% belge.  

Une histoire pour les tout petits 

L’album d’Émile Jadoul propose une histoire avec des illustrations simples, colorées et sans textes. Cela permet aux parents qui ne sauraient ni lire, ni écrire, de laisser cours à leur propre imagination en utilisant librement le choix des mots. 

L’histoire, créée autour d’une comptine connue dans l’imaginaire collectif, celle de « La petite bête qui monte », raconte l’ascension de différents animaux, éléphant, lapin, oiseau qui avancent à leur rythme, pour finalement rejoindre au point le plus haut d’une colline jaune où ils sont accueillis par… un bébé. Toute une symbolique qui permettra aux parents d’user de leur propre style pour conter cette histoire et amuser leur tout petit.  

Les bienfaits de la lecture 

Force est de constater que la lecture n’est pas une habitude commune à tous, parents ou non, et encore moins celle d’un enfant non initié à l’exercice. La naissance d’un enfant requiert souvent toute l’attention des jeunes parents qui, occupés par les nombreuses tâches, ne voient pas forcément dans la lecture une priorité pour leur progéniture. 

Pourtant, ce rituel peut amener à favoriser, entre autres, le lien d’attachement avec son bébé. En effet, la lecture, en tant que moment de partage, permet de développer la confiance en lui d’un bébé et le lien d’attachement avec ses parents. De plus, la lecture peut être perçue comme un jeu et donc un bon moyen de se sociabiliser avec les autres, ses frères ou ses sœurs ainsi que des camarades de la crèche ou de l’école. 

Encourager l’apprentissage de la lecture semble donc bénéfique pour tout le monde et particulièrement pour un tout petit, car cela lui permet de développer certaines capacités comme son langage, sa créativité ou encore son ouverture sur le monde extérieur.  

Texte : Samuel Walheer

Pour découvrir l’auteur et son album  Autour de : « C’est le petit qui monte » d’Emile Jadoul – YouTube 

Petite enfance et milieux d’acceuil : le secteur manifeste pour un vrai coup de main !

Ce mercredi 22 novembre, plus de mille personnes se sont rassemblées à Bruxelles pour manifester leur mécontentement face au manque de moyens financiers et humain dans le secteur de la petite enfance. L’objectif de l’action est de revendiquer une valorisation salariale et de dénoncer une baisse d’intérêt pour la profession de puéricultrice, créant inévitablement une pénurie de mains d’œuvre. Le secteur public comme privé souffre et demande de l’aide !



Loin d’être un
cas isolé, puisque les manifestations dans différents secteurs marchands et non-marchands vont bon train depuis le début de l’année, les acteurs de la petite enfance, eux, poursuivent leur combat pour être écoutés et pour faire bouger les lignes. Malgré une bonne humeur affichée et un lâché de ballons colorés au pieds du siège de la Fédération Wallonie Bruxelles, les manifestants du jour semblaient harassés par le désintérêt de notre gouvernement. 
 

Un métier à revaloriser 

Depuis la crise du covid, un bon nombre de métiers ont reçu le statut dit « essentiel ». Cité dans ladite liste, le métier de puéricultrice, principalement exercé par des femmes, semble légitimement y avoir sa place. En effet, s’occuper d’un enfant en bas-âge n’est pas simple, mais alors que dire lorsqu’on est seule, en charge de sept enfants ? Sans parler des nombreuses tâches à effectuer durant une journée de travail. 

Il est en tout cas un fait certain et observable, devenir puéricultrice n’attire plus autant qu’auparavant et l’intérêt de ce beau métier semble actuellement s’essouffler. Jusqu’alors appris sur les bancs de l’école dans le secondaire professionnel, la formation se donne depuis peu et dans certaines écoles sur base d’un bachelier professionnalisant. Cela pourrait être, entre autres, un bon moyen de protéger le métier et surtout de le redynamiser par un meilleur attrait salarial. 

Malgré un manque d’intérêt, les offres d’emplois sont pourtant nombreuses mais à l’arrivée, peu de candidates répondent à l’appel.
« Une offre d’emploi va peut-être recevoir sur un mois quatre ou cinq CV au maximum. On souhaite donc qu’un effort considérable soit fait non seulement pour reconnaître ce métier en pénurie et accompagner cela de toutes une série de mesures pour le revaloriser. » , explique Violaine Herbaux, Présidente de l’Office de la Naissance et de l’Enfance, pour le journal Rtbf. 

Peu de moyens humains 

Trouver une place en crèche pour son enfant peut parfois ressembler à un vrai parcours du combattant et, pour les parents, il faut littéralement s’armer de patience et faire preuve de persévérance. Face à cette réalité, une mesure appelée « Plan cigogne » a été lancée en 2022 parBénédicte Linard, ministre de l’Enfance en Fédération Wallonie-Bruxelles, afin de créer près de 575 nouvelles places dans les crèches en région bruxelloise. Honorer cette promesse, aider les nouveaux parents et permettre plus de moyens dans les milieux d’accueils, passe par un recrutement massif de puéricultrices. Car, il suffit de voir le nombre de manifestations se tenant depuis le début de l’année pour se rendre rapidement compte que le secteur se porte mal et que le manque cruel de mains d’œuvre est réel. 

À cet égard et interviewée par Rtl info, Cathy Marcil, puéricultrice depuis 20 ans et déléguée syndicale du SETCa de La Louvière, déplore pour sa part : « On a besoin de bras supplémentaires. Dans les crèches, le ratio est normalement d’une puéricultrice pour sept enfants. En réalité, avec le nombre de travailleuses malades ou en burn-out, c’est loin d’être cas. On se retrouve parfois à s’occuper, seule, de 14 enfants, voire plus ». 

Un manque de considération 

Au manque de moyens humains lié à une insuffisance d’intérêt pour la profession, des départs ou encore des maladies à répétition créant un manquement au quotidien, s’ajoute un manque de considération pour les travailleuses. À ce sujet, Corine Leire, puéricultrice depuis 37 ans et interrogée par Rtl info explique : « J’estime que l’on arrive au bout du rouleau, il y a un ras-le-bol total. Il y a un manque de considération de notre métier, on a besoin de souffler. On arrive à la pension dans un état pitoyable, c’est un métier très physique. »  
Les revendications des travailleurs du secteur sont explicites au regard du métier de puéricultrice que l’on pourrait requalifier de « pénible » tant la profession ne semble pas suffisamment encadrée et les moyens pour y arriver sont limités. 

Texte : Samuel Walheer

Santé environnementale et petite enfance : un questionnaire de « Docteur Coquelicot » pour faire avancer la recherche

Une étude proposée par « Docteur Coquelicot », projet porté par la Cellule Environnement de la SSMG (Société Scientifique de Médecine Générale) et par la COCOM (Commission Communautaire Commune), veut  sensibiliser les jeunes parents à la santé de leur enfant face aux polluants chimiques. Le questionnaire, dont le but est de faire évoluer la recherche en la matière, délivre également des conseils personnalisés pour protéger au mieux son enfant, diminuer les risques de maladies ou pathologies chroniques.

Nous le voyons tous les jours, les changements environnementaux sont constants et le corps humain doit forcément s’adapter. Face à ces modifications, le risque d’effets néfastes pour la santé d’un adulte est élevé. Lorsqu’il s’agit d’un fœtus ou d’un bébé, le danger est démultiplié. Le projet « Docteur Coquelicot » a été spécialement créé pour mettre en garde les futurs ou les jeunes parents par le biais de guides et de fiches et, dernièrement, en les incitant à répondre à un questionnaire sur son site (Parent-bébé – Docteur Coquelicot).

Pourquoi un questionnaire ?

En quinze minutes, via ce formulaire, chaque parent d’un enfant de moins de 2 ans peut se rendre compte de ses bonnes ou moins bonnes habitudes et tenter de les adapter en fonction des réponses bienveillantes proposées par les médecins. Il aura ainsi des pistes pour favoriser un environnement sain et peu exposé aux polluants chimiques. Dans le même temps, les réponses apportées permettront de faire évoluer la recherche en santé environnementale.

 

Les nourrissons particulièrement sensibles aux polluants

Dès la grossesse, l’organisme du bébé se développe et devient rapidement sensible à ce qui l’entoure, un environnement encore inconnu. Sa santé va être impactée par ce que vit maman, son alimentation, son comportement, son entourage ou encore son hygiène de vie. Les expériences positives ou négatives, vécues par bébé, laisseront une trace sur sa propre santé et ce, tout au long de sa vie.

De nombreuses études ont démontré l’importance de la période des 1000 premiers jours de vie de bébé, qui s’étend de la grossesse jusqu’à ses deux ans. C’est une période durant laquelle son organisme est encore fragile et très sensible aux polluants présents dans son environnement. Parmi ces polluants, il y a les perturbateurs endocriniens (Perturbateurs endocriniens – Born in Brussels), molécules qui perturbent le fonctionnement normal de l’organisme.

 

Se protéger soi et son bébé

Parmi ses multiples initiatives, « Docteur Coquelicot » a établi un livret de bons conseils, à la fois  pour les personnes en désir d’enfant, que pour les mamans enceintes ou encore pour les jeunes parents :

BR_FR_OK_SE_PROTEGER_PERTURBATEURS_ENDOCRINIENS_web.pdf (infomaniak.website).

Ces recommandations visent à adapter son quotidien afin de réduire les risques face aux perturbateurs endocriniens et autres polluants environnements.

Les conseils délivrés dans ce carnet sont en lien avec un environnement précis :

– La vie en plein air : à pied, en voiture, au jardin.

– À la maison : « je fais mon ménage », la chambre de bébé, les jouets, etc.

– À table : la nourriture à préférer ou à éviter pour bébé.

– Dans la cuisine : Les contenants alimentaires et les ustensiles de cuisine.

 

À propos de Docteur Coquelicot

Docteur Coquelicot est un projet né en 2020, porté par la Cellule Environnement de la Société Scientifique de Médecine Générale, en Belgique. L’équipe compte une dizaine de professionnels de santé (médecins généralistes, sages-femmes, infirmières, etc). Depuis 2021, l’organisme est soutenu par la COCOM pour des projets de formation, de recherche et de vulgarisation sur les enjeux de santé environnementale.

 

Bruxelles Social : de nouveaux outils en ligne pour faciliter la recherche en social-santé

Le portail bilingue Social.Brussels, site de référence qui répertorie l’offre sociale-santé en Région bruxelloise, permet désormais à tous les Bruxellois de créer leur propre carte sociale et leur guide-répertoire, ainsi que d’avoir accès à tout moment et (encore plus) facilement aux organismes d’aides et de soins de santé.

Forte de ses trente années d’expériences, Bruxelles Social met à disposition un large éventail de données en accès libre et gratuit développé pour faciliter la recherche en social-santé des habitants de Bruxelles. En plus d’une carte interactive, porte d’entrée virtuelle vers les organisations d’aide et services francophones et néerlandophone, de nouvelles fonctionnalités sont dorénavant disponibles sur le portail social-santé.

Quelles sont ces nouvelles fonctionnalités ?

À l’initiative du groupe de travail « Accès aux droits » créé par le cabinet d’Alain Maron (Ministre chargé de l’Action sociale et de la Santé), la création de nouvelles fonctionnalités du portail est également le fruit d’un travail d’acteurs de terrain.

Parmi les nouveautés disponibles via le compte « MY BRUSO » (répertoire personnel en ligne) :

  • La création sur mesure d’une carte sociale locale et/ou thématique.
  • L’élaboration d’un guide social personnalisé permettant la distribution de répertoires à jour.
  • L’impression de la fiche identificatrice d’une organisation ou d’une liste d’organisations.

L’ensemble est pensé pour faciliter un maximum l’orientation d’une personne vers les lieux d’aide et de soins.

→ Des vidéos et manuels ont été créés afin de permettre à chacun de s’approprier facilement les outils disponibles : https://social.brussels/page/a-propos-de-la-carte-sociale.

Accès direct aux secteurs liés à la périnatalité 

Il existe actuellement, sur le site de Bruxelles Social, plus de 630 catégories qui ont été créées afin de décrire et de répertorier l’offre des organisations et services sociaux-santé actifs en région bruxelloise. Ces dernières sont organisées sous forme d’arborescence et elles sont réparties au sein de vingt secteurs d’activités. Parmi ces secteurs, il y a la petite enfance (0-3 ans), l’aide à la monoparentalité, la santé mentale, l’égalité et la diversité, la promotion de la santé ou encore les personnes en situation de handicap.

Que fait concrètement Bruxelles Social ?

Bruxelles Social est un outil virtuel principalement au service des professionnels, réseaux et plateformes, institutions de recherches et mandataires politiques locaux et régionaux des secteurs sociaux-santé en région bruxelloise.

Il propose plus de 4.100 adresses sociales-santé en français et en néerlandais, des fiches informatives, une carte interactive, des outils d’exportation de données, ou encore la possibilité de créer un répertoire personnel. Désormais il est donc possible de réaliser une impression sur mesure de la fiche identificatrice d’une organisation ou d’une liste d’organisations.

Pour accéder au site de Bruxelles Social : Bruxelles Social – Sociaal Brussel

Deuil périnatal : Comment vivre après la mort de son bébé ? Une maman témoigne

Pour des futurs parents, la mort soudaine de leur bébé est un choc innommable. Un traumatisme avec lequel le couple devra vivre et tenter, par la suite, de se reconstruire. Mais comment ? Selon la définition de l’Organisation mondiale de la santé, on parle de deuil périnatal lorsque des parents perdent leur bébé entre la 22e semaine de grossesse et le septième jour après sa naissance. Le témoignage de Samantha, dans l’émission de France 2 « Ça commence aujourd’hui », démontre la complexité de vivre avec la perte de son bébé et les difficultés pour surmonter l’étape de la mort. 

Une multitude d’émotions nous traversent lorsqu’on apprend que l’on va devenir parent. Rien ne nous prépare réellement à donner la vie et encore moins à recevoir la mort. À l’annonce du diagnostic anténatal, les cas de figure divergent. La mort prénatale est généralement accidentelle et peut se présenter au travers d’une fausse couche ou encore d’une mort fœtale in utero (MFIU). Dans le cas de Samantha, la perte de son bébé est survenue alors qu’elle était arrivée au terme de sa grossesse (38 e semaine). 

Collision entre la vie et la mort 

Samantha et Maxime, dont l’histoire a été révélée au sein de l’émission « Ça commence aujourd’hui » de France 2, vivent ensemble depuis 2011. Ils traversent des moments difficiles, mais leur amour est plus fort que tout. Samantha demande alors Maxime en mariage en 2017 et quelques années plus tard, la jeune femme tombe enceinte de son premier bébé. Elle vit sa première grossesse à merveille et attend impatiemment la venue de son petit garçon. « C’était une grossesse parfaite. J’ai même eu la chance d’avoir une échographie tous les mois. Avant mon terme, j’ai effectué une dernière consultation. La sage-femme me dit que j’ai beaucoup de liquide amniotique, mais qu’à part ça tout va bien. Elle ne voit rien d’autre d’étrange et je rentre alors tranquillement chez moi. Le lendemain matin, il y a quelque chose d’étrange, je sens que mon bébé ne bouge plus du tout. Je ne m’en fais pas sur le moment, je me dis que je suis à 38 semaines, on approche de la fin peut être qu’il ne peut plus bouger, qu’il n’a plus beaucoup de place. » 

L’annonce du médecin 

Durant une grossesse, il est conseillé à la future maman d’être accompagnée par un.e gynécologue afin de suivre l’évolution de son bébé in utero. Ce suivi régulier permet de constater, lors des échographies, les éventuelles anomalies autour du fœtus. À la découverte d’une problématique comme une malformation, un risque élevé de fausse couche ou d’une mort instantanée, le médecin doit l’annoncer aux futurs parents. Cette nouvelle vient alors déstabiliser l’équilibre établi par la ou les protagonistes. « Arrivée à l’hôpital, la gynécologue me dit ‘bah dis donc il est caché où ?’ Je lui réponds alors qu’il ne peut pas être caché, je suis à terme. Et sans aucune explication, elle me dit ‘je suis désolée’. Les médecins vont alors chercher Max. À cet instant, il n’est au courant de rien. C’est à moi de lui annoncer la nouvelle. Je lui dis ‘c’est fini’. Et quand je lui dis que c’est terminé, je ne réalise pas. Je ne comprends pas ce qu’il se passe. À partir de là, mon cerveau est en pause. Je me laisse complètement porter à partir de là« , continue Samantha au sein de l’émission.  

Comment vivre avec ce deuil ? 

Suite à l’annonce du médecin, survient alors naturellement différents sentiments pour les parents comme la colère, la honte, la douleur ou encore la culpabilité. Rien ne sera plus comme avant et il va falloir avancer avec ce désespoir. La maman et le papa vont vivre cette interruption brutale à différents niveaux. Car, perdre une partie de soi, parfois même sans pouvoir rencontrer son petit être cher, ou accoucher d’un bébé mort, est sans aucun doute une expérience des plus traumatisantes. 

Individuellement, le travail de deuil pour la femme s’appuiera davantage sur le psychique et la reconstruction du corps. Ce corps qui portera, douloureusement, la trace du passage du bébé. Quant à l’homme, la nécessité de paraître fort et de soutenir sa compagne sera davantage important pour favoriser ce travail de deuil prénatal. 

Ce deuil prénatal peut créer une crise au sein même du couple. Quand certains parents voient leur couple se diriger vers une inévitable rupture, d’autres se fortifient dans cette épreuve douloureuse. C’est le cas de Samantha et Maxime qui, suite à cet événement tragique, ont su ensemble remonter la pente et croire en leur bonne étoile. Samantha déclare :« Pendant les quinze jours qui suivent, on est des robots, on se laisse porter. Malgré cela, quelques mois plus tard, j’apprends que je suis de nouveau enceinte. Cette fois-ci, tout se déroule à merveille. » 

L’importance de l’accompagnement  

Après le choc du deuil, le couple est fragilisé et parfois isolé. Dans ces moments-là, il est nécessaire d’être bien entouré par sa famille ou ses proches. Lorsque l’isolement prend trop de place dans la vie du couple et devient pesant, des groupes de paroles, sur les réseaux sociaux, sont disponibles afin de pouvoir discuter avec des parents ayant vécu le même trauma.

À Bruxelles, il existe des groupes d’entraide pour parents endeuillés, proposés par le biais d’associations et animés par des professionnels ou des bénévoles ayant parfois eux-mêmes vécus un drame. Ces lieux d’échanges peuvent constituer une source de bien-être pour des parents en souffrance qui ressentent le besoin de partager leur expérience. Voici quelques liens d’associations ou d’initiatives vers lesquelles se tourner : 

Il existe également des services d’aide au sein d’hôpitaux (liste non exhaustive) : 

Texte : Samuel Walheer